(L’Homme qui rétrécit )
En vacances aux Bahamas, Scott Carey (Grant Williams) est exposé lors d’une sortie en bateau à un brouillard radioactif puis à quelques semaines d’intervalle à un pesticide. Peu de temps après, il constate avec effroi que son corps rétrécie tous les jours un peu plus. S’engage alors une angoissante course contre la montre pour tenter d’inverser le processus…
Adapté du roman de Richard Matheson publié en 1956, ce film est une référence aujourd’hui encore pour la créativité déployée par Jack Arnold dans les effets spéciaux : utilisation de la double exposition, perspective, contre-plongées et objets surdimensionnés.
« To God, there is no zero »